sonore
visuel

Dans la continuité du parcours Phares, le Centre Pompidou-Metz présente à partir du 20 avril 2016 Musicircus, explorant les liens entre arts visuels et musique à travers une quarantaine d’œuvres « phares » de la collection du Centre Pompidou, Musée national d’art moderne.

L’équipe du CRANE lab a le plaisir de vous inviter à découvrir la musique acousmatique dans toute sa riche diversité en écoutant les diffusions que nous proposerons les compositeurs invités, représentatifs des générations successives de la courte et déjà intense histoire de « l’art des sons ».

« Où sont les sons ? Où vont les sons ? Cette double question en apparence simple révèle quelques aspects essentiels propres à l’écoute. D’abord, il y a cette disposition ou, serait-ce plutôt, cette disponibilité de l’auditeur à tout événement sonore, grand ou petit. Cette interrogation nous permet également de discuter de la manière dont les sons se manifestent et se propagent dans un espace donné, dans des lieux publics ou lors de nos déambulations quotidiennes.

Cette installation, à la manière d’une vanité, nous fait ressentir le mouvement perpétuel et fugace qui relie la vie à la mort. Une lampe, reliée au plafond par un simple fil, s’allume et s’éteint en suivant le rythme généré par le son amplifié des battements du cœur de l’artiste.

Le Centre Pompidou présente Mutations / Créations, une nouvelle manifestation, tournée vers la prospective et l’interaction des technologies numériques avec la création ; un territoire partagé entre art, innovation et science.

CsO signifie « Corps sans Organe ». Avec ce concept emprunté au Mille plateaux de Deleuze et Guattari, et à la pièce radiophonique d’Antonin Artaud Pour en finir avec le jugement de Dieu, Suguru Goto interroge le devenir d’une humanité en passe de devenir post‐humaine, dans une œuvre dont le montage faussement chaotique répond au désordre de nos esprits face à l’omniprésence de la technologie.

Musicien improvisateur, compositeur et plasticien français, eRikm étend son terrain d’expérimentation artistique sur les scènes internationales. Attentif au maintien de la fusion entre pensée, instinct et sensibilité, il ose la simultanéité des pratiques et la mise en tension de différents modes de composition, dans et avec tous les langages. Son intérêt pour la phonographie est intrinsèquement lié à l’équivalent des phénomènes électroniques générés par la nature.

C’est par sa sélection à la fois pointue et populaire dans le haut sens du terme que Villette Sonique est devenu l’un des rendez-vous incontournables de la scène underground internationale et d’un certain Paris. Une véritable faille spatio-temporelle.