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ARTISTE

Ryoji Ikeda

JAPON
Ryoji Ikeda commence une carrière de DJ en 1990 et ouvre progressivement sa pratique à l’art sonore. Il se situe dans un domaine minimal électroacoustique, aux couleurs post-techno et IDM (Intelligent Dance Music). Il intègre très vite le collectif multimédia japonais Dumb Type, au sein duquel il intervient principalement en tant que musicien et crée le label CCI Recordings pour la distribution des enregistrements. Ses récentes installations qui empruntent entre autres à la logique mathématique (Spectra, V not equal to N) font cependant écho aux explorations annoncées par la fameuse exposition Les Immatériaux (Centre Beaubourg, J.-F. Lyotard, T. Chaput, 1985).

Ryoji Ikeda commence une carrière de DJ en 1990 et ouvre progressivement sa pratique à l’art sonore. Il se situe dans un domaine minimal électroacoustique, aux couleurs post-techno et IDM (Intelligent Dance Music). Il intègre très vite le collectif multimédia japonais Dumb Type, au sein duquel il intervient principalement en tant que musicien et crée le label CCI Recordings pour la distribution des enregistrements. C’est seulement en 1995 que paraît le premier disque de Ryoji Ikeda en solo, intitulé 1000 Fragments. Cet album est le début de représentations diverses en Europe, aux États-Unis ou au Japon. Elles sont de formes très variées, du spectacle à l’installation, en passant par les concerts ou les performances.

En 2001, il reçoit le prix Golden Nica du festival Ars Electronica à Linz (Autriche) pour son travail dans le domaine de la musique numérique, saluée pour sa précision millimétrique. Son nom n’a cessé de grossir pour faire de lui l’un des artistes sonores les plus intéressants de la scène minimaliste électronique.

Ses récentes installations qui empruntent entre autres à la logique mathématique (Spectra, V not equal to N) font cependant écho aux explorations annoncées par la fameuse exposition Les Immatériaux (Centre Beaubourg, J.-F. Lyotard, T. Chaput, 1985).

ŒUVRE(S)

The transfinite

'to me, the purest beauty is the world of mathematics. its perfect assemblage of numbers, magnitudes and forms persist, independent of us. the aesthetic experience of the sublime in mathematics is awe-inspiring. it is similar to the experience we have when we confront the vast magnitude of the universe, which always leaves us open-mouthed… this project explores the transfinite (the infinite that is quantitative and ordered) intersection that lies between such polarizations - the beautiful and the sublime; music and mathematics; performance and installation; composer and visual artist: black and white; 0s and 1s' -ryoji ikeda

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