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Qu’elle soit solfégique, graphique ou verbale, sur papier, sur écran ou par coeur, la partition est comme un miroir. Pour la·le compositeur, elle reflète sa pensée qui se projette sur la page blanche. Pour l’interprète, elle révèle un de ses multiples devenirs. Pour l’auditeur enfin, elle ouvre un champ infini comme celui produit par deux miroirs se faisant face. L’oeuvre, matérialisée par le son, flotte quelque part autour de cette trinité de désirs.