sonore
visuel

Construit à partir de faits réels, leur projet se déploie tant dans les espaces du Palais de Tokyo qu’au cÅ“ur d’un territoire géographique précis situé en Bretagne, mais dont les artistes souhaitent préserver l’intimité.

L’exposition On connaît la musique rassemble des oeuvres du Frac et d’autres qui lui ont été confiées par le CNAP (Centre National des Arts Plastiques) dans le cadre d’un dépôt. Elles relèvent de domaines variés (peinture, dessin, installation, vidéo, volume,…) et ont toutes trait à la dimension sonore.

Cette Rencontre Internationale des Laboratoires Cinématographiques d'Artistes rassemblera près de 150 membres issus de 46 labos* pour dresser un état des lieux des pratiques expérimentales de l'image, pour pratiquer, montrer ensemble et s'organiser collectivement face, notamment, à la raréfaction des matières premières liées au film.

Rendez-vous des arts du temps et de la création musicale à Paris, le festival ManiFeste-2016 rencontre pour la première fois les arts visuels. Une constellation autour de l’arte povera qui s’expose et s’entend au Centre Pompidou, qui se lit dans les colonnes de L’Étincelle. Traduire la guérilla artistique et anticonsumériste du povera italien de la fin des années 1960 en une question pressante pour le présent, tel est le pari de ce manifeste.

Contre les représentations vampiriques et les communicants, il y a le vif du fantomatique : la puissance, l’informe, l’à-venir, l’altérité en soi, l’anonymat, la justice, le clandestin, la mémoire, une an-identité, un devenir, une forme en formation perpétuelle, une finalité sans fin.

Troisième volet consacré à l’exploration des pratiques de danses anonymes confrontées à la notion d’auteur, le syndrome ian accueille des souvenirs de clubbing et de la nuit. Ni hommage, ni reconstitution.