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Jean Painlevé avait su mêler ses images de l'infiniment petit et du monde animal aux musiques les plus contemporaines de son époque, du jazz de Louis Armstrong aux musiques électroniques de Pierre Henry. C'est le musicien et plasticien Vincent Epplay qui mêle ici la modernité de ses sons à l'esthétique de ce réalisateur, issue tant de la science que de l'avant-garde des années 1960. A prévoir, l'adéquation du sonore et du visuel, l'immersion hypnotique dans un monde flirtant avec l'abstrait.

Painlevé et Epplay : projection comparée en haut fond
Vincent Epplay
FRANCE, 50 MIN.
Sur une idée de Benoît Hické. Jean Painlevé avait su mêler ses images de l'infiniment petit et du monde animal aux musiques les plus contemporaines de son époque, du jazz de Louis Armstrong aux musiques électroniques de Pierre Henry. C'est le musicien et plasticien Vincent Epplay qui mêle ici la modernité de ses sons à l'esthétique de ce réalisateur, issue tant de la science que de l'avant-garde des années 1960. A prévoir, l'adéquation du sonore et du visuel, l'immersion hypnotique dans un monde flirtant avec l'abstrait. Et une réactualisation de la poésie de l'observation de l'animal. Les films de Jean Painlevé projetés : « Oursins », « Les amours de la pieuvre », « Acera ou le bal des sorcières », « Histoires de crevettes », « Transition de phase dans les cristaux liquides ».
(création originale)

Publié par Benoît Montigné

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