sonore
visuel

À l’occasion de ses 60 ans et des 70 ans de la musique concrète, le Groupe de recherches musicales de l’Ina proposera plusieurs événements tout au long de l’année. La saison commencera par un concert anniversaire, se poursuivra avec le festival « Présences électronique » et un week-end de concerts Akousma pour explorer les univers multiples des musiques expérimentales.

Concerts, soirées, avant-première, conférence et créations inédites : le Red Bull Music Festival est de retour à Paris pour sa troisième édition du 24 au 30 septembre 2018.

Rendez-vous des créateurs radiophoniques et sonores de toute l’Europe, les prix Phonurgia Nova, créés à Arles en 1986, célèbrent la « radio de création », la liberté de raconter le monde avec et par les sons.

Trois jours et trois nuits dédiées aux musiques électroniques, 40 rencontres professionnelles à la Gaîté Lyrique pour penser le présent et le futur des musiques électroniques, Des rencontres artistiques avec des soirées et performances à l’Aérosol, Concrete, Centre Pompidou, Maison de la Culture du Japon à Paris...

De Keersmaeker se sert des structures musicales de Reich pour développer son propre langage gestuel, qui complémente la musique plus qu’il ne la redouble. Danse et musique explorent le même principe structurant : le « décalage de phase » à l’intérieur du jeu des répétitions.

Live = est un festival dédié à la performance sonore. Vingt-trois artistes sont invité.e.s pour une série de concerts dans un hall vitré, une rue, un pont, un hangar et une friche, alternés de séances de travail publiques la semaine.

La programmation de Crak se veut le reflet de la création sonore contemporaine française et internationale, affranchie des définitions politiques, et s’inscrit dans une démarche militante de décloisonnement des genres et de mélanges des publics associés à ces derniers.

En résidence artistique au Musée Industriel de la Corderie Vallois, Benoît Poulain y a installé une fabrique sonore collaborative, invitant le public à explorer, capter le son, et créer des instruments de musique à partir d’objets détournés, revisitant les mécaniques du Musée. Scolaires, collégiens, jeunes publics, adultes, enfants des centres de loisirs, associations, personnes en situation de handicap : près de 600 personnes ont participé à l’un des 45 ateliers ouverts à tous pour contribuer à la création d’une œuvre collective.