Christian Marclay has composed Pianorama, a panoramic projection of Steve Beresford's piano playing which will be projected onto Ron Arad's 360 degree screen installation Curtain Call. Beresford will accompany the projection of his own hands live on piano. London Roundhouse, 24 August, 7pm, voluntary donation.
Dans le cadre du programme des soirées de Monumenta 2011, Anish Kapoor invite Richie Hawtin à se confronter à l’oeuvre qu’il a imaginée pour la nef du Grand Palais. Avec « Red – Richie Hawtin face au Leviathan d’Anish Kapoor», le DJ canadien, grand amateur d’art contemporain, propose une performance musicale exceptionnelle, le 21 juin 2011, à l’occasion de la Fête de la Musique. Une rencontre inédite entre deux artistes qui s’admirent et dialoguent au-delà des formes.
L’artiste Tarek Atoui présente le troisième volet de son œuvre musicale et sonore, From Architecture, conçue en lien étroit avec l’ouvrage de Frank Gehry.
Performances, acousmatiques, improvisations collectives… Du bruit à toutes les sauces : néons, insectes, bodhrán, scratch, télécran, larsen radio et vidéo, bouilloires tuberculeuses, installation sonore, punk féministe, glitch et charbon sonore.
Quasi Stellar Objects programme des concerts, des lives vidéos (film, signal analogique ou numérique), des performances audiovisuelles avec pour mots d’ordre : singularité, radicalité, poésie.
Scanner, Toute la mémoire du monde et Le Chant du styrène d’Alain Resnais Lundi 21 novembre à 20h30 / Monday, November 21, 8.30 p.m. Ciné-concert (60 min.) / Film-concert (60 min.) Scanner, musicien et artiste sonore britannique, réinvente l’univers musical de deux étonnants documentaires d’Alain Resnais réalisés dans les années 50. Pour ces films de commande teintés de surréalisme, il conçoit des flâneries électroniques et hypnotiques. Scanner, a British musician and sound artist, recreates the musical world of two remarkable documentaries that Alain Resnais was commissioned to make in the 1950s. He has composed mesmerising electronic soundtracks to accompany these quasi-surrealistic films.
Performance audiovisuelle spatialisée autour d’une sculpture scénique, Satori associe les sons analogiques d’Étienne Jaumet aux lumières tridimensionnelles et architecturales de Félicie d’Estienne d’Orves.
Une soirée d’ouverture spécialement concoctée par Anne-James Chaton qui servira, une traversée hypnotique où le plaisir de déguster un macaron fait écho à la voix grave du poète.
Entre performance et opéra-vidéo, le récit de Ruines se vit comme une odyssée sensorielle. Centaure, safari post-numérique dans l’anthropocène de notre futur, est une performance audiovisuelle où les paysages abrasifs de Franck Vigroux se combinent aux images d’une civilisation dystopique dégénérée crée par le vidéaste Kurt d’Haeseleer et dans lesquelles la nature et l’humanité sont déformées par la technologie à peine visible, mais omniprésente. Véritable instrument audiovisuel, SOLARIS permet d’écrire des sons en correspondance avec des formes graphiques. Cette platine-scanner-synthétiseur est jouée en live par le duo CONCRETE.
La performance inédite s’appuie sur des images documentaires apportées par le public du BAL, pour envisager de nouvelles interprétations. L’augmentation de ses images se fera instantanément en présence du public par le biais de différents médiums notamment de rétroprojections, de dispositifs sonores et de jeux de lumières.
Jean Painlevé avait su mêler ses images de l'infiniment petit et du monde animal aux musiques les plus contemporaines de son époque, du jazz de Louis Armstrong aux musiques électroniques de Pierre Henry. C'est le musicien et plasticien Vincent Epplay qui mêle ici la modernité de ses sons à l'esthétique de ce réalisateur, issue tant de la science que de l'avant-garde des années 1960. A prévoir, l'adéquation du sonore et du visuel, l'immersion hypnotique dans un monde flirtant avec l'abstrait.
Andy Guhl est un pionnier de la musique électronique expérimentale en Europe. Jérôme Noetinger dirige le label de musique concrète Metamkine et s'occupe d'un catalogue de vente par correspondance spécialisé dans les musiques électroacoustiques et improvisées.
Ses matériaux : la musique et le son, dans toutes leurs formes. Ses œuvres prennent la forme de photographies, collages, sculptures, installations, vidéos, performances. A partir de matériaux trouvés, il conçoit aussi des partitions qu'il donne à jouer à des musiciens
Ici, la voix humaine et le traitement sonore sont envisagés comme des éléments nécessaires à un dispositif visuel qui puise à la fois dans la performance « live » et la projection vidéo. Dominique Dalcan élabore ses compositions en les associant à des visuels, fixes ou animés, et développe un vaste imaginaire derrière lequel il exhale sa subjectivité d’artiste.
L’artiste Lina Lapelyte emprunte le titre d’un tube de dirty rap chanté par 50 Cent, Candy Shop, pour sa performance-opéra où sept chanteuses reprennent en chœur des textes de hip-hop qu’elles transforment en berceuses. Une histoire sur la beauté, le genre et le quotidien qui réinterroge les hiérarchies du pouvoir.