le collectif pluridisciplinaire Visual System imagine une sculpture tridimensionnelle, évolutive et colorée, formant une atmosphère à la fois sonore et visuelle invitant à la déambulation et à la contemplation

Chaque année, La Pop propose aux franciliens, notamment aux plus jeunes d’entre eux, de découvrir dans la cale de la péniche une œuvre d’art dont le son est l’un des éléments constitutifs, voire le principal enjeu.

Dans Last Night A Woman Saved My Life, Dominique Dalcan évoque pour la première fois ses rapports avec le Liban, son pays natal. Audio (issus notamment d’enregistrements de terrain), photos et vidéos se mêlent et se répondent intimement à l’intérieur de cette exposition transversale.

Apprendre et désapprendre, coder et décoder : quatre actes fondateurs pour le festival et l’académie de l’Ircam, pour le Forum Vertigo et l’exposition pluridisciplinaire du Centre Pompidou. Apprentissage entre vivants et machines, apprentissage profond et non supervisé dans l’informatique, désapprentissage des acquis, l’intrigue de ManiFeste 2018 se joue entre l’intelligence humaine et l’algorithme.

« Mutations/Créations » interroge les liens entre arts, science, ingénierie et innovation. Cette deuxième édition fait la part belle au code numérique, revient sur son histoire et la manière dont les artistes s’en sont emparés depuis l’avènement de l’ordinateur dans les années 1960.

Les installations monumentales du plasticien norvégien Børre Sæthre engendrent des atmosphères où l’ambiance technologique des panoramas futuristes dévoile ses effets pervers sur les désirs primaires de notre inconscient collectif. L’artiste emprunte les formes du quotidien et les stylise pour bâtir des univers aux résonances aussi envoûtantes qu’inaccessibles. On peut les regarder avec l’oeil de l’architecte, de l’artiste, de l’écrivain, du savant ou du cinéaste, aucun de ces angles de vue ne saurait apporter une conclusion définitive. C’est peut-être là que réside l’essence du projet de Sæthre : le dernier chapitre de notre rêverie cosmique reste à écrire.

Du 1er octobre 2015 au 31 janvier 2016, quatre mois de festivités numériques à Paris et en Île-de-France, art contemporain numérique, expériences immersives, performances et concerts audiovisuels, spectacles transdisciplinaires.

Compositeur et plasticien, Ryoji Ikeda est un acteur majeur de la musique électronique au Japon. Ses créations invitent à expérimenter une immersion dans un univers qui mêle le son, l’image, l’espace, les phénomènes perceptifs et les équations mathématiques. L’exposition dévoile une installation inédite ; une salle noire et une salle blanche divisent l’espace en deux univers opposés et complémentaires.

Avec The Artificial Nature Project, Mette Ingvartsen poursuit son exploration de la scène comme laboratoire – à la frontière de la physique et du spectaculaire. Comme un microscope grandeur nature, le plateau génère des transformations, déplie différents états de la matière – substance vivante, objets familiers, particules en suspension.

Les Bains numériques, biennale internationale des arts numériques célèbrent leur dixième édition. Une manifestation unique en son genre qui s’attache à faire vivre à ses visiteurs une expérience globale dans la ville, investie de toutes parts (lac, rues, places, parc, gare et marché).

Binary Waves (les ondes binaires) est une installation cinétique du collectif bruxellois LAb]au}.

Porté par l'association Electroni[k], le Festival Maintenant présente du 14 au 19 octobre un instantané de la créativité artistique contemporaine en arts visuels, musiques et nouvelles technologies.

Après une promenade en barque sur le fleuve de l’éternité, Capitaine futur entre dans le règne organique des machines à rêves, sonores et visuelles, foisonnantes et imprévisibles. "Chercheurs de failles" ou "surfers sinusoïdaux", le Collectif_sin réunit des adeptes du larsen et du court-circuit qui traquent le potentiel sauvage des technologies.

En 1970, Éliane Radigue conçoit son premier « Labyrinthe Sonore » pour le Pavillon français de l’Exposition universelle d’Osaka. Trop compliqué techniquement pour l’époque, ce dernier ne sera réalisé qu’en 1998, à l’occasion d’une résidence de l’artiste avec les étudiants et musiciens du Mills College de Californie.